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  • Zoolander 2

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    Justin Bieber vient d’être sauvagement assassiné à Rome et il s’agit là de la sixième pop-star ayant disparu. Avant de s’éteindre, il a trouvé la force de poster une dernière photo sur Instagram et c’est ce qui intrigue Interpol et sa division Mode dirigée par Valentina Valencia (Penélope Cruz). En effet, toutes les victimes arboraient le même visage sur leur ultime selfie et il n’y a qu’un homme qui puisse décrypter ce message : Derek Zoolander (Ben Stiller) ! Malheureusement ce dernier s’est exilé après des évènements dramatiques où il a perdu sa femme et dans la foulée la garde de son fils Derek Jr (Cyrus Arnold). Il faudra la visite de Billy Zane pour le faire sortir de sa tanière et il va ainsi rejoindre Rome où il retrouve également Hansel (Owen Wilson).

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    N'ayant pas encore eu l'occasion de découvrir le Zoolander premier du nom, je m'attendais tout de même à une comédie bien barrée de la part de notre pote Ben Stiller et le rendez-vous a tenu ses promesses ! Clairement c’est un film qu’il faut prendre avec beaucoup de second degré et si l’humour absurde ne vous effraie pas alors vous y trouverez sans mal un divertissement assez sympathique. Le réalisateur / acteur ne fait pas non plus les choses à moitié quand il s’agit de faire venir les guests entre Katy Perry, Anna Wintour ou encore le couple Kim Kardashian / Kanye West, on a l’impression que tout son carnet d’adresses y est passé ! Zoolander 2 c'est donc un univers particulier qui risque d'en consterner certains, les autres ne penseront qu'à se marrer.

     


    Il faut le voir pour : Ne pas oublier de faire un dernier selfie avant de mourir !

  • No escape

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    C’est une nouvelle vie qui commence pour notre pote Jack Dwyer (Owen Wilson) et sa famille qui quittent Austin au Texas pour s’installer en Thaïlande. Cardiff, une société de traitement des eaux lui a en effet proposé une offre qu’il ne pouvait pas refuser. Ce qu’il ignore c’est que la position de Cardiff au pays crée des tensions et la nuit dernière, le premier ministre thaïlandais a été assassiné. Quelques heures après avoir atterri, Jack va ainsi se retrouver au cœur d’un soulèvement visant tous les expatriés américains. Sa seule préoccupation sera de rejoindre sa femme Annie (Lake Bell) et leurs filles Lucy & Beeze (Sterling Jerins & Claire Geare) afin de les mettre à l’abri.

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    Owen Wilson en action hero ça avait de quoi interpeller plus d’un spectateur et c’est donc une belle surprise de voir qu’il s’en tire brillamment. Si au niveau de la carrure et du charisme ce n’est pas un Bruce Willis et qu'il n'a pas la classe d'un James Bond (c'est peut-être pour ça que Pierce Brosnan est du voyage ) on s'identifiera plus facilement à ce monsieur-tout-le-monde. La réalisation de John Erick Dowdle se montre aussi efficace ne laissant quasiment aucun temps morts et offrant quelques sueurs froides (vous apprendrez le lancer d’enfants). Avec tout ça, No escape nous fait passer un bon moment mais ça ne va pas relancer le tourisme en Thaïlande !

     

    Il faut le voir pour : Vous interroger quand vous goûterez du poulet avec un arrière-goût de raisin !

  • Broadway therapy

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    Les belles histoires sont faites pour être racontées et c’est en quelque sorte ce qui est arrivé à notre pote Isabella Patterson (Imogen Poots). Si aujourd’hui elle est devenue une comédienne à Broadway, elle n’a pas vraiment suivi un parcours classique. En fait tout a commencé lorsque le metteur en scène Arnold Albertson (Owen Wilson) est arrivé à New York pour sa pièce et voulait profiter de l’absence de sa femme Delta (Kathryn Hahn). Il voulait passer une agréable soirée et a donc fait appel à une escort girl et c’est ainsi que Isabella a fait sa connaissance, une rencontre durant laquelle la jeune femme va avoir une véritable révélation !

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    Sous la forme d’un film choral, ce Broadway therapy vous fera sans doute penser au cinéma de Woody Allen. Le réalisateur Peter Bogdanovich entend surtout rendre un hommage au Screwball comedy, genre populaire dans les États-Unis des années 1930-40 ce qui nous donne un film bien dynamique. Une galerie de personnages hauts en couleur, des situations rocambolesques voire improbables tout cela sans temps mort s’il vous plait. Bref, on ne s’ennuie pas malgré tout ce film laisse un gout amer à travers cette impression de superficialité qui se dégage ce qui ne devrait pas plaire à tout le monde.

     

    Il faut le voir pour : Retenir la réplique "Donner des écureuils aux noix" pour draguer !

  • La nuit au musée : Le secret des Pharaons

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    C’est une soirée spéciale au Musée d’Histoire Naturelle de New York et le spectacle organisé par notre pote Larry Daley (Ben Stiller) se déroulait parfaitement … du moins au début. Soudainement, toutes les pièces du musée qui avaient pris vie ont perdu la tête transformant la soirée en cauchemar. Larry comprendra plus tard que ceci est du à la tablette d’Ahkmenrah qui semble se désagréger sans que l’on sache pourquoi. Afin d’en savoir plus à ce sujet, notre veilleur de nuit va devoir se rendre an Angleterre où sont conservés les parents d’Ahkmenrah (Rami Malek) qui pourront lui dévoiler les secrets renfermés par cette tablette.

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    On quitte cette fois les États-Unis pour l’Angleterre où un nouveau musée va prendre vie sous nos yeux et sous l’égide de notre fidèle Ben Stiller. S’il n’y a pas de grosses révolutions en vue, La nuit au musée : Le secret des Pharaons remplit aisément sa mission de divertir le spectateur. L’action et l’humour sont au rendez-vous et il est à noter également un excellent caméo de la part de notre pote Hugh Jackman. C’est la fin d’une saga (à moins qu’un spin-off ne soit lancé avec Rebel Wilson) et celle-ci est d’autant plus chargée d’émotions qu’on y découvre Robin Williams dans un de ces derniers rôles. La magie est répétitive mais opère encore un peu pour faire plaisir aux spectateurs de tout âge.

     

    Il faut le voir pour : Apprendre à neutraliser des lions avec une simple lampe-torche !

  • Les stagiaires

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    Ils pensaient conclure une nouvelle vente mais nos potes Billy & Nick (Vince Vaughn & Owen Wilson) ont eu la désagréable surprise d’apprendre qu’ils n’avaient plus de boulot. Leur désormais ancien employeur a en effet été obligé de baisser le rideau et c’est ainsi que le duo doit se remettre à chercher un job. C’est en cherchant sur le net que Billy a l’idée de postuler chez Google, le plus célèbre des moteurs de recherche au monde ! Bien sur c’est une belle opportunité pour eux mais les places sont chères et c’est comme simples stagiaires qu’ils vont débuter. Afin de pouvoir décrocher un job, ils vont devoir faire leurs preuves et c’est loin d’être gagné !

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    Après The social network, le biopic consacré à Mark Zuckerberg et la création de Facebook ; voici maintenant venir une petite comédie mettant à l’honneur Google, le moteur de recherche devenu une référence incontournable. Les stagiaires fait ainsi une belle publicité à la firme américaine où les bureaux ressemblent à un terrain de jeu (et où la bouffe est gratuite !) mais au départ on est surtout là pour se marrer. Peu de réponses pertinentes à cette recherche ; à part la chasse au Professeur Xavier on ne peut pas dire que l’on s’étrange de rires. Le challenge entre les différents groupes n’est pas très passionnant d’autant qu’il ne faut pas être un génie pour deviner le dénouement. On va continuer à chercher une bonne comédie.

     

    Il faut le voir pour : Découvrir qu’un match de Quidditch dans la réalité c’est quand même pas terrible !

  • The big year

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    Tout le monde aime les oiseaux mais en ce qui concerne nos potes Stu Preissler, Brad Harris & Kenny Bostick (Steve Martin, Jack Black & Owen Wilson) c’est une véritable passion. Ils ne sont pas les seuls et cette passion a ainsi donné naissance à un évènement exceptionnel appelé la Big Year. Durant 1 an, les ornithologues amateurs parcourent les Etats-Unis pour découvrir le maximum d’espèces avec pourquoi pas l’espoir de battre le record historique de 732 oiseaux détenu par Kenny. A 36 ans et après un divorce, Brad est décidé à remporter ce concours dont il rêve depuis qu’il est tout petit mais la concurrence est rude. Stu lui aussi a décidé de sauter le pas mais Kenny n’a pas l’intention de rester les bras croisés et va tout faire pour défendre son titre de meilleur observateur.

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    Le sujet pourrait faire sourire et pourtant le film de David Frankel s’inspire d’un véritable concours qui séduira avant tout les amoureux de la nature. C’est vrai qu’en réunissant Steve Martin, Jack Black & Owen Wilson ; on s’attendait tout de même à ce que cette comédie réussisse sa mission première qui est de nous faire rire mais de ce coté-là The big year boxe dans la catégorie poids plume. Il était déjà difficile de concevoir un scénario autour de cet évènement qui affiche vite ses limites et ce ne sont pas les "sacrifices" personnels de notre trio de héros qui parviendront à nous enthousiasmer. Si vous avez un appétit d’oiseau alors vous vous en contenterez facilement sinon il n’y a pas de quoi sortir de la salle gai comme un pinson !

     

    Il faut le voir pour : Prendre du temps et observer les oiseaux.

  • Anaconda

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    C’est au cœur de la jungle amazonienne que notre pote Terri Flores (Jennifer Lopez) va réaliser son premier documentaire ayant pour thème les Shiri-Shama, le peuple de la brume. Accompagnée de toute son équipe, ils remontent la rivière lorsqu’il croise sur leur chemin Paul Sarone (John Voight) dont le bateau est tombé en panne. Ce chasseur de serpents, pour les remercier, leur propose de les guider mais ce périple va soudainement tourner au cauchemar. D’abord avec l’accident de Steven (Eric Stoltz) et par la suite quand un anaconda vient s’inviter à la fête et dévorer quelques hors d’œuvre. Seul Paul n’est pas surpris et pour cause, il tient à capturer cet animal hors-norme qui pourrait lui rapporter un beau paquet d’argent.

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    L’Anaconda possède quelque chose de fascinant ; capable d’atteindre plus de 7 mètres on l’imagine comme un vrai prédateur capable de faire d’un homme qu’une bouchée. Ce film s’inspire donc de ces croyances pour nous offrir un divertissement avec un casting étonnamment étoffé pour ce genre rassemblant Jennifer Lopez, John Voight, Owen Wilson, Ice Cube ou encore Eric Stoltz. Surprenant puisque la véritable star est bien entendu ce serpent géant qui ne demande qu’à s’amuser reproduit à travers des effets spéciaux numériques mêlés à un animal reproduit mécaniquement (le réalisme étant plus probant dans le dernier cas). A sa sortie, Anaconda avait des allures de blockbuster avant de prendre avec les années le statut de film de série B et cela reste une récréation pas désagréable.

  • Woody Allen : a documentary

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    C’est dans les rues de Brooklyn qu’a grandit notre pote Allen Stewart Königsberg celui que le monde entier apprendra à connaitre sous le nom de Woody Allen ! Alors que ses camarades de classe s’engagent dans des carrières de médecin ou d’avocat, lui va construire sa réputation en écrivant des blagues. Il débute ainsi par être publié et très vite son potentiel comique séduit et le propulse sur le devant de la scène où ses premiers pas sont hésitants mais sa carrière est lancée. Après avoir participé à l’écriture du film Quoi de neuf, Pussycat ?, il devient ensuite réalisateur et en 1969 sort son tout premier long-métrage : Prends l’oseille et tire-toi.  40 ans plus tard, Woody Allen continue de séduire les spectateurs comme en témoigne le succès rencontré par son dernier film Minuit à Paris.

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    Que l’on connaisse ou non le réalisateur, Woody Allen : a documentary est justement là pour nous présenter une incroyable carrière jalonnée de succès mais aussi de déroutes. Biographie tout ce qu’il y a de plus chronologique, c’est l’occasion également de revoir quelques extraits de ses plus grands films de quoi vous donner envie de (re-)découvrir les œuvres comme Bananas, Manhattan ou Annie Hall. Un hommage qui se complète avec tous les artistes qui ont eu l’opportunité de travailler avec lui et qui ne manquent pas de louanges à son égard sans oublier les muses que sont Diane Keaton ou Mia Farrow. Un documentaire qui traine parfois en longueur mais incontournable pour les fans et instructif pour ceux qui connaissent peu ou pas l’homme et sa riche filmographie.

     

    Il faut le voir pour : Ressortir votre vieille machine à écrire, elle peut encore servir !

  • Minuit à Paris

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    Sur le point de se marier Inez & Gil (Rachel McAdams & Owen Wilson) se sont offert une belle escapade à Paris. Pour Gil qui est en train d’écrire un livre, cette ville est un véritable émerveillement et il aurait sans doute mieux apprécié ce voyage s’ils n’avaient pas croisé Carol & Paul (Nina Arianda & Michael Sheen), un couple de potes d’enfance légèrement prétentieux. Après une soirée bien arrosée, il décide de faire cavalier seul et déambule dans les rues parisiennes jusqu’à se perdre et c’est là qu’il est invité à monter dans une vieille voiture. Il n’a pas fini d’être étonné puisqu’en fait il va retourner dans les années 1920 et rencontrer ses maitres à penser que sont Ernest Hemingway (Corey Stoll) ou encore Zelda & Scott Fitzgerald (Alison Pill & Tom Hiddleston).

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    Après New York, Barcelone ou encore Londres, Woody Allen pose ses caméras dans la capitale française comme on ne l’a jamais vu (A moins que vous fêtiez prochainement vos 100 ans). A travers son héros Gil, le réalisateur nous propose en effet un voyage dans le temps avec des rencontres improbables avec Hemingway, Picasso, Matisse ou encore Salvador Dali. Plus que le charme de la ville, Minuit à Paris capture la richesse du patrimoine culturel français tout en proposant un avis pertinent sur la nostalgie de chacun. Voilà encore un beau voyage auquel nous convie Allen et vous serez forcément transportés !

     

    Il faut le voir pour : Aller vous promener à Paris sous la pluie.

  • Bon à tirer (B.A.T.)

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    Nos 2 potes d’enfance que sont Rick & Fred (Owen Wilson & Jason Sudeikis) ont depuis longtemps oublié les joies du célibat alors ils se contentent de ce qu’ils peuvent. Mater les autres filles sans que votre femme s’en aperçoive est tout un art et en l’occurrence ils sont loin de briller dans ce domaine. Pour Maggie & Grace (Jenna Fischer & Christina Applegate) leurs femmes respectives, cette libido exacerbée est difficile à supporter mais elles se consolent en se disant qu’ils ne les ont jamais trompé. Pourtant, sur le conseil d’une de leurs amies, elles décident de leur offrir un Bon à tirer c’est-à-dire que pendant 1 semaine ils vont redevenir des célibataires et faire ce que bon leur semble. Attention les filles, les fauves sont lâchés …enfin presque.

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    Les frères Farrelly sont de retour avec cette comédie qui s’intéresse à la vie maritale de 2 gars aux mœurs lubriques. Le niveau d’humour de ce film se concentre donc exclusivement sur le bas de la ceinture et je dois avouer qu’au terme d’1H45, il y a une certaine lassitude qui s’installe. Evidemment, je ne cache pas avoir succombé à quelques éclats de rires mais ça en fait des caisses et on sait que les Farrelly sont capables de faire bien beaucoup mieux. Sinon Bon à tirer (B.A.T.) est une comédie divertissante pour qui sait apprécier ce type d’humour mais ce n’est certainement pas un film indispensable.

     

    Il faut le voir pour : Éternuer un bon coup, ça va vous libérer !